Philippe NOEL






introduction

J'avais réalisé en 2008 un DVD avec des animations, des photographies, un fond sonore, etc., pour "raconter" qui fut Philippe NOEL (le grand-père de mon épouse Nathalie) et à travers lui le récit d'une famille dont les origines remontent vers la fin du dix-huitième siècle (1772) par un enfant trouvé abandonné dans une forêt en Alsace quelques jours avant Noël.




page de couverture du DVD



En 2017, près de 10 ans après la création de ce DVD, j'ai décidé de mettre son contenu sur mon site Internet. Plus facilement consultable et offrant une lecture plus personnalisée, la page ci-dessous (récit, photographies et compléments) étant la mémoire d'un passé qui mérite d'être (re)connu des générations actuelles et futures.

Cette page comprend donc trois sections qui se suivent (récit, photographies et compléments). Vous pouvez directement atteindre une des trois sections de cette page:

   • section intitulée 'récit' ........... elle est juste ci-dessous
   • section intitulée 'photographies' ... cliquez ici
   • section intitulée 'compléments' ..... cliquez ici




récit

Philippe NOEL est né en France le 8 janvier 1888 de Charles NOEL (1849-1928) et Léonie HEILMANN (1862-1944).

(retour en arrière)

Philippe est l'arrière-petit-fils d'un enfant trouvé abandonné dans une forêt à côté de Haguenau (Bas-Rhin). À quelques jours de Noël 1772, Thomas MULLER, habitant de Haguenau, découvrit l'enfant à un lieu-dit Moulin Neuf à quelque distance d'un chemin conduisant dans la forêt de Trusenbergen. Baptisé le 25 décembre dans l'église de Haguenau, l'enfant trouvé fut appelé Thomas comme le propriétaire (Thomas MULLER) de la maison où l'enfant avait été abrité après sa découverte, et NOEL comme la fête chrétienne du jour de son baptême (Noël). En 1791 Thomas s'engagea dans le régiment de Salm-Salm et participa aux guerres de la Révolution. Il devint officier grenadier. Il quitta l'armée en 1802, avec les honneurs. Thomas épousa Magdelena (Madeleine) GEBUS le 15 septembre 1802. Thomas et Magdelena s'installèrent dans une maison de Haguenau, impasse des Guillemites. Ils eurent quatre enfants: Thomas (1803), Monica (1805), Charles (1807) et Auguste (1813).

Auguste fit ses études à la Faculté des Sciences de Strasbourg et devint professeur à Belfort. Auguste épousa Juliette PENIGHETTI. De cette union naquirent Thérèse (1848), Charles (1849, père de Philippe) et Jeanne (1856).

Charles, le père de Philippe, fit ses études au Lycée Louis Legrand à Paris, remporta le premier prix de littérature du Conseil Général et fit la connaissance de Théophile GAUTIER, Jules LEMAITRE et Jules GUESDES. A 21 ans, après la défaite de Sedan, il s'engagea à Lyon dans un régiment de Ligne (sans informer sa mère). Après la reddition, Charles revint à Grenoble. Il fut ensuite professeur de latin et grec au lycée de Belfort, passa 5 ans (de 1876 à 1881) au lycée d'Avignon. Puis il passa son agrégation de grammaire en 1880 et fut nommé (en 1881) professeur de lettres, chargé de conférence à la Faculté de Grenoble. Il épousa Léonie HEILMANN (née à Colmar en 1862) en 1882 à Andrézieux. Charles et Léonie eurent six enfants: Geneviève dite Ginette (1883), Pierre (1884-1967), Philippe (1888), Marguerite (1889), Albert (1899-1931) et Juliette (1901-1958).

En 1889, Charles fut nommé professeur à Besançon. Il avait alors 40 ans. En 1897, il fut nommé professeur à Marseille. Il avait alors 48 ans. Il y resta un an. Charles décida de prendre une retraite en Tunisie (avec toute sa famille).

(fin du retour en arrière)

Philippe a 11 ans quand il arriva en Tunisie (il y restera 65 ans, jusqu'en 1964). Il fut élève au Lycée de Tunis et passa son bachot à 15 ans (donc en 1903), brillamment, sans effort apparent. Il voulut travailler tout de suite et souhaita, à 16 ans (donc en 1904), se former en qualité de stagiaire dans une exploitation agricole. Après cette formation de deux ans il se fit embaucher à Montarnaud chez Omnium Immobilier Tunisien (OIT) dans un domaine de 5000 hectares où rapidement il se conduisit en chef. Il parlait parfaitement l'arabe, sans accent, et apprit même les intonations des différents douars.

A 21 ans (en 1909) il prit la direction du domaine de Montarnaud dont seuls 300 hectares, sur les 5000, étaient défrichés. A son départ de Montarnaud (en 1926, 17 ans après) il y avait 3500 hectares de défrichés (céréales et élevage).

Entre-temps, Philippe fut mobilisé (guerre de 1914-1918) dans les Chasseurs d'Afrique en qualité de cavalier. Il participa à la campagne des Flandres et fut envoyé dans les Balkans.

En 1920 Georges DUHAMEL (écrivain, Prix Goncourt en 1918, académicien) se rendit en Tunisie. Sa destination était Medjez el Bab pour rencontrer Philippe qui l'accueillit et le conduisit à Montarnaud. "Je vous remercie de me recevoir", dit Georges DUHAMEL, "je souhaite rencontrer des colons français afin de comprendre leurs vies en Tunisie pour un livre que je compte écrire". Philippe emmena son hôte visiter le domaine qu'il dirigeait et eut avec l'écrivain de longues conversations pendant son séjour. Son livre, Le Prince Jaffar (1924), consacre un chapitre entier à Philippe. Georges DUHAMEL reprit à la première personne les propos que Philippe avait tenus pour décrire son domaine et son travail. Intitulé "Chapitre VI - Qui est le récit du colon Philippe", les premiers mots sont:

(début de l'extrait du livre)

<< Cinq mille hectares! C'est une province. Vous voyez, là-bas, cette première chaîne de collines et, plus loin, à l'horizon, une longue arête nue, pierreuse. Le domaine s'étend encore au delà, jusqu'à la rive orientale du grand oued. Une province! Et c'est moi qui l'ai défrichée. Je ne suis pas un vieillard. J'ai trente-cinq ans. Je m'appelle Philippe. >> Etc.

(fin de l'extrait)

Le Colonel Francis REBILLET (1848-1923), qui avait épousé Hélène ZELLER, fille de Charles ZELLER (huitième enfant de Joseph ZELLER et Caroline STEGER) et de Céleste REBILLET, était un ami de la famille NOEL. Résidant en Tunisie, c'est lui qui avait proposé à Charles (père de Philippe) de venir s'y installer. Et c'est chez lui que Philippe, après son baccalauréat, entra comme stagiaire pendant deux ans dans sa propriété agricole (400 hectares). Cette propriété portait le nom d'Outetta et était située à quelques kilomètres de Mateur (à 75 km au Nord-Ouest de Tunis) tout près d'un village appelé Michaud.

C'est également chez le colonel REBILLET que Philippe fit la connaissance de Marguerite SCHIRMER (petite fille d'Édouard ZELLER qui était un frère de Charles ZELLER). Il l'épousa à Tunis le 7 Mars 1920.

Après la mort du colonel REBILLET, son épouse se retrouva seule car ses deux enfants avaient perdu la vie dont un fils lors de la Première Guerre Mondiale. Philippe et Marguerite quittèrent Montarnaud (en 1926) pour s'installer à Outetta, propriété que Philippe racheta pour la plus grande joie de Madame REBILLET qui avait toujours eu, comme son mari, beaucoup d'estime pour Philippe.

Quand Philippe et Marguerite s'installèrent à Outetta, leurs trois enfants étaient nés: Georges en 1921 en Tunisie (il est le père de mon épouse Nathalie), Antoinette en 1922 en Tunisie également et Jean en 1923 en France (Marguerite était en séjour en Alsace).

Philippe fit face aux difficultés liées à la grande crise céréalière de 1929. Le domaine d'Outetta faisait 400 hectares, moitié en plaines et moitié en coteaux, produisait des céréales en alternance avec des légumineuses (fourrage, fèves, pois chiches et même pois de senteurs). Quant au cheptel, il était composé de bovins, de porcins et d'équidés. Il y avait également un hectare d'oliviers.

Les études primaires des trois enfants furent assurées par un institutrice à domicile. Et c'est à partir de 1931, qu'ils partirent en pension à Tunis.

En 1939, Philippe fut mobilisé un an environ au Quatrième Spahis dans la région de Tunis et Georges s'engagea au Quatrième Spahis à Sfax. Jean retourna en pension (trop jeune pour s'engager ainsi qu'il le souhaitait). La propriété d'Outetta fut mise en métayage et continua à fonctionner. Philippe suivit son escadron qui quitta la région de Tunis pour le Sud vers la ligne Mareth qui était une sorte de ligne Maginot le long de la frontière entre la Tunisie et la Libye (la Libye était colonisée par les italiens, amis des allemands). Comme Philippe parlait très bien l'arabe, il fut versé aux services de renseignements de l'armée. La nuit, déguisé en chamelier pour traverser la frontière, il allait recueillir et récupérer des informations (documents, photographies, etc.) auprès d'autres agents en Libye.

À l'armistice (22 juin 1940), Philippe revint à Outetta où étaient restées Marguerite et Antoinette. Georges qui fut fait prisonnier à Saumur quelques semaines avant l'armistice, s'échappa et revint à Tunis pour faire l'école d'Agriculture. Jean reprit ses études au Lycée.

En 1942 les allemands débarquèrent à Tunis. La propriété d'Outetta fut réquisitionnée. Marguerite, parlant bien la langue allemande, obtint de pouvoir rester avec les siens dans une moitié de la maison. Georges qui avait terminé son école d'agriculture était en stage de sortie à Souk-El-Khemis (côté allié). Jean, qui était au Lycée, trop content de tenter l'aventure, s'engagea dans les Compagnons de France (mouvement de jeunes d'action civique).

En Mai 1943, la Tunisie fut libérée. Georges (qui était du côté des alliés) rejoignit son régiment de Spahis qui l'envoya en Italie où il fut grièvement blessé (à Monte Cassino) puis rapatrié sur l'Afrique du Nord. Jean fit l'école d'aspirants de Cherchel (Algérie). En Avril 1944, Georges, guéri de ses blessures fut envoyé à Cherchel pour achever la formation qu'il avait commencée à Saumur et devint instructeur (toujours à Cherchel) pour la promotion suivante. Jean fut affecté à la Brigade de Marche du levant en Syrie (dans les Monts Allaouites), puis au Liban (à Tripoli).

Pendant que Georges et Jean étaient à l'armée, Philippe dénonça le métayage pour reprendre l'exploitation, malgré son âge, à l'intention de ses deux fils qu'il voulait installer à Outetta. En Octobre 1945, Georges et Jean furent démobilisés et se remirent à la tâche sur la propriété familiale.

Philipe conserva la haute main sur tout ce qui était élevage. Georges s'attacha à la gestion et à l'organisation générale de l'exploitation et Jean fut plus particulièrement sur le terrain pour suivre les chantiers et faire l'école de conduite des tracteurs. En effet, les premiers matériels agricoles modernes commençaient à parvenir des États-Unis (avant la France).

Georges épousa Anne KULLMANN en 1946. Ils eurent huit enfants: Florence, Pierre (mort quelques jours après sa naissance), Philippe, Isabelle, Claire, Christine et Nathalie (mon épouse). La même année (1946), Antoinette épousa Yves SAINT-MARTORY. Ils eurent cinq enfants: Odile, Jacques, Françoise, Nicole et Marie-Noëlle (Mano). Antoinette perdit la vie dans un accident de voiture à l'âge de 37 ans (en 1957). Jean épousa Danielle MORET en 1957. Ils eurent deux enfants: Martine et Francis. Jean épousa en secondes noces Nicole GROJEAN en 1975.

Après la reconnaissance de l’autonomie interne de la Tunisie concédée par la France en 1954 (et la fin du protectorat en 1956 après 75 années) Georges décida de s'installer en France (à Montauban) avec sa famille en 1957 (Christine et Nathalie naquirent après ce retour en France). Avec son beau-frère Yves SAINT-MARTORY, il prit la représentation de McCormick pour toute la région très agricole de Montauban.

Philippe quitta la Tunisie en 1964. C'est à partir de cette date que le gouvernement tunisien nationalisa toutes les terres qui appartenaient à des non-tunisiens. Jean avait créé, quelques années plus tôt (en 1953), une société de prestations de services à l'agriculture installée à Tunis et portant le nom de BERA (Bureau Études et Réalisations Agricoles). Après sa dissolution en 1962, il travailla, toujours en Tunisie, pour la SCET (Société Centrale de l'Équipement du Territoire) jusqu'en 1965 date de son retour en France.

Philippe s'installa à Toulouse jusqu'en 1970, date de sa disparition (à 82 ans). Il repose à Montauban à côté de son épouse qui lui survivra jusqu'en 1979.

(petit retour en arrière)

En 1931, dans son livre "Géographie Cordiale de l'Europe", Georges DUHAMEL écrivit (page 55): << Je suis retourné en Tunisie en 1930, au début de l'année même où j'écris ces pages. J'ai revu le colon Philippe et je l'ai revu avec joie. C'est le même homme. Il a toujours les mêmes vertus remarquables. Il est toujours le même hôte empressé. Il est venu me chercher à Tunis, m'a conduit dans son domaine, m'a traité magnifiquement, comme autrefois. "Vous trouverez sans doute, m'a-t-il dit, quelques petits changements à notre existence, et même à notre table. Ainsi, je ne fais plus de volailles, car c'est un luxe dérisoire dans ce pays où la basse-cour ne paye pas. Vous n'aurez pas non plus le méchoui, plus d'agneau rôti. J'ai, depuis quelques années, abandonné le mouton. Mauvaise affaire le mouton ..." -- "Bah, lui ai-je répondu, nous aurons pour nous consoler la fameuse crème de zébu?". >> Etc., ... En 1931 Philippe était installé à Outetta depuis cinq ans.

(fin du petit retour en arrière)

Les NOEL en Tunisie (pour conclure ce récit):

  • Charles (le père de Philippe) s'installe en Tunisie en 1899,
  • Philippe: de 1899 (il avait 11 ans) jusqu'en 1964,
  • Georges et Antoinette: depuis leurs naissances jusqu'en 1957,
  • Jean: depuis sa naissance jusqu'en 1965.

Charles, Léonie et Pierre ont été enterrés en Tunisie et y reposent encore.
...

Remerciements:

En 2007, Jean m'avait longuement raconté l'histoire des NOEL (j'avais pris des notes). C'est cette même année que je réalisais un DVD (dont je parle plus haut dans l'introduction) intitulé "Cinq Mille Hectares" et qui reprenait le récit ci-dessus. La page de mon site que vous lisez en ce moment répond à une volonté de préférer Internet au DVD comme support accessible par tous et de pouvoir y porter des photographies plus nombreuses, agrandies, retouchées (contrastes) afin de mieux "remonter le temps" dans des temps qui racontent le personnage hors du commun que fut Philippe NOEL, son ancêtre trouvé en plein hiver abandonné dans un panier déposé dans une forêt, sa rencontre avec Georges DUHAMEL et tant d'autres détails qui ne sont pas tous écrits ici. Merci Jean de m'avoir offert l'opportunité de m'associer au souvenir de ce passé.

(Jean et son épouse Nicole vivent à Parves dans l'Ain)


Toulouse (Colomiers), 24 octobre 2017   







Nord de la Tunisie (carte de 2004)





photographies

Rappel

Filiation de père en fils: Thomas, puis Auguste, puis Charles, puis Philippe et les enfants de Philippe (Georges, Antoinette et Jean).





  Thomas


01
acte de baptème de Thomas
(enfant trouvé abandonné dans une forêt près de Haguenau)






02
Thomas (d'un médaillon)






03
Magdelena (Madeleine) GEBUS
épouse de Thomas





  Charles


04
Charles






05
Charles






06
Charles, Léonie et Juliette






07
Charles






08
Charles






09
Charles






10
Charles au palais Kheireddine






11
Léonie (épouse de Charles)





  Philippe


12
Philippe
(à son arrivée en Tunisie)






13
une rue de Mateur en 1930






14
Philippe (Première Guerre Mondiale)






15
"Le Prince Jaffar" de Georges DUHAMEL (1924)
(chapitre VI "Qui est le récit du colon Philippe")






16
Marguerite






17
Marguerite






18
Marguerite






19
l'ensemble de la propriété d'Outetta
la maison et les dépendances






20
la maison d'Outetta






21
Philippe avec son fils Georges dans les bras






22
l'institutrice, Marguerite, Georges et Philippe dans le patio






23
les talents de dessinateur de Philippe






23b
Philippe fabriquait en bois des petits personnages
(remis en scène par Nathalie en 2017 à Colomiers)






23c
Philippe fabriquait en bois des petits personnages






24
Philippe (Deuxième Guerre Mondiale)
en spahi






25
Marguerite et Philippe (en 1950)






26
Philippe






27
Philippe devant sa maison à Outetta
(un an avant son départ définitif de la Tunisie, en 1964)





  les enfants


28
Jean, Antoinette et Georges






29
Georges (à 8 mois)






30
Georges et sa maman (Marguerite)






31
Jean






32
Georges et Jean






33
Jean, Georges et Antoinette
(en vacances à Altkirch)






34
Georges, Antoinette et Jean






35
Jean (à 16 ans)






36
Jean






37
Antoinette dans le patio (Tunisie)






38
Antoinette






39
Antoinette






40
Antoinette






41
Georges et Jean






42
Georges et Jean






43
Jean, Georges, Anne et Florence






44
Antoinette






45
Yves SAINT-MARTORY






46
Georges et Anne






47
Georges et Anne






48
les enfants de Georges et Anne NOEL
(de gauche à droite: Béatrice, Florence, Christine, Philippe,
Georges, Claire, Anne, Isabelle et Nathalie en robe de baptême)






49
les enfants de Jean et Danielle NOEL
(Martine et Francis)






50
les enfants d'Yves et Antoinette SAINT-MARTORY
(depuis le haut, de gauche à droite: Odile, Françoise, Nicole, Mano et Jacques)






51
Nicole (femme de Jean depuis 1975)







52
Mateur, en 2010
(même rue que sur la photographie en
début de page, et ci-dessus, 80 ans plus tard)





trois pêle-mêles




53
pêle-mêle de photographies de Georges






54
pêle-mêle de photographies d'Antoinette






55
pêle-mêle de photographies de Jean





compléments



• Document transmis par Jean NOEL (31/10/2017):

<< Famille NOEL – PENIGHETTI par Alice PÉGAND et notes de Jean NOEL >>





• Notes et réflexions personnelles de (et par) Charles NOEL:

<< Notes et Réflexions >>







• Livre d'Alice NOEL-PÉGAND:

<< une vie toute simple >>



• Pour en savoir un peu plus sur la réalisation du DVD de 2008:

<< les dessins que j'avais réalisés pour quelques animations >>





• Obsèques du Colonel Francis REBILLET (le 8 janvier 1923):

<< Obsèques de Francis REBILLET relatées dans la presse tunisienne de l'époque >>










fin